lundi 21 juin 2021

Poème express n° 863

posted by Lucien Suel at 07:28

2 Comments:

Anonymous ste said...

les maisons en friche sur quatre parpaings

09:43  
Anonymous Anonyme said...

(je suis en retard mais ça va être la même chose pour demain)(je repars)(je passe seulement) c'est là qu'elle habitait enfant c'est pour ça (pour la voiture, ce n'est pas certain mais tout le reste oui) elle revient voir sa mère (elle veut lui présenter son amoureux - ou plutôt c'est lui qui veut voir un peu de quoi il retourne (lui, c'est Mark Rutland (je n'invente rien), elle c'est Peggy Nicholson alias Margaret Edgar) : il va être servi (pour sir Alfred, la psychanalyse est un peu ce que l'adultère est à Truffaut ou le non-dit à Rohmer - la politique et la morale à Rosi, le fantasme à Stanley) c'est un film de sir Alfred (le quarante-cinquième quand même, stuveux) et Mark propose à Marnie (c'est elle, voilà, c'est Tippi Hedren) soit de l'épouser, soit de la dénoncer aux agents de la police (Peggy/Marnie est kleptomane et a volé de l'argent à Mark - mais Marnie a des problèmes sexuels - pour tout dire, elle est frigide... ça ne se dit pas (ça n'est pas dit) mais ça se comprend quand même) choix cornélien : elle épousera Mark (lui, c'est Sean Connery, plus connu alors (en 1964) dans le rôle de l'espion licence to kill numéro sept de sa très gracieuse majesté - mais n'importe) - il y a une chute de cheval qui fait dans le traumatisme, il y a des souvenirs et il y a des rêves, il y a une merveille de suspens - et puis et puis... vient le P/E*... bien des choses en somme - splendide hein - Pas de printemps pour Marnie (Sir Alfred aka Hitch, 1964) (musique Bernard Herrmann, image Robert Burks : business as usual, mais formidable)

18:07  

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