(c'est pas tant que j'aime les films de guerre, mais enfin c'est assez suggéré - il semble) (on pense un peu à trente ans d'ici, à la Yougoslavie d'alors - la Yougoslavie n'existe plus non plus que Tito, Nasser et Kroutchev) (toute ma jeunesse) et évidemment (c'est l'un des acteurs préférés de l'un des auteurs de mes jours, c'est pour ça) plutôt à Errol Flynn (j'ai failli m'offrir un jour sa biographie, - j'aime les biographies) (il buvait trop, c'est tout ce que j'en sais) le film est de quarante-cinq, bientôt finie sera la guerre (mais c'est avant le 9 août (le jour de la Saint-Amour) et les deux bombes tellement inutiles...) (il fait penser aussi à ces films de propagande "Pourquoi nous combattons" réalisés par Capra et toute la compagnie) le suspense reste entier - c'est un film d'aventures tout autant (les bons gagnent à la fin, tu sais comment c'est) - la violence de la guerre (le journaliste qui perd la raison, les Japonais cruels, la forêt vierge comme une nasse...) réalisé formidablement (Raoul Walsh quand même, l'un des plus grands sinon le plus grand réalisateurs de cinéma étazunien - comme Ford, il était borgne (et comme moi)) (formidable chef d'œuvre) Objective Burma (Aventures en Birmanie) Raoul Walsh, 1945) (au loin brille la paix...)
(c'est pas tant que j'aime les films de guerre, mais enfin c'est assez suggéré - il semble) (on pense un peu à trente ans d'ici, à la Yougoslavie d'alors - la Yougoslavie n'existe plus non plus que Tito, Nasser et Kroutchev) (toute ma jeunesse) et évidemment (c'est l'un des acteurs préférés de l'un des auteurs de mes jours, c'est pour ça) plutôt à Errol Flynn (j'ai failli m'offrir un jour sa biographie, - j'aime les biographies) (il buvait trop, c'est tout ce que j'en sais) le film est de quarante-cinq, bientôt finie sera la guerre (mais c'est avant le 9 août (le jour de la Saint-Amour) et les deux bombes tellement inutiles...) (il fait penser aussi à ces films de propagande "Pourquoi nous combattons" réalisés par Capra et toute la compagnie) le suspense reste entier - c'est un film d'aventures tout autant (les bons gagnent à la fin, tu sais comment c'est) - la violence de la guerre (le journaliste qui perd la raison, les Japonais cruels, la forêt vierge comme une nasse...) réalisé formidablement (Raoul Walsh quand même, l'un des plus grands sinon le plus grand réalisateurs de cinéma étazunien - comme Ford, il était borgne (et comme moi)) (formidable chef d'œuvre) Objective Burma (Aventures en Birmanie) Raoul Walsh, 1945) (au loin brille la paix...)
RépondreSupprimer(je rajoute quand même que l'image est de James Wong Howe, plus de cinquante ans d'image, des films formidables tout autant)
RépondreSupprimerle linceul avait cédé voilà tout
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