(ça se passe en deux temps - le P/E* est du premier - Marie est danseuse, elle s'échappe pour un jour de cette discipline d'acier, se retrouve sur une île où elle repense à son premier amour, Henrik - formidable amour (c'est le poème) soleil joies rires - après ça tourne mal - vous verrez peut-être (mais c'est un incunable) - puis elle revient à sa profession, (en quelques secondes, on voit vingt ans passer sur son visage) (c'est le deuxième temps) (tout le cinéma se trouve dans cette ellipse) (c'est aussi pour ça qu'on l'aime) et se laisse convaincre que décidément il faut vivre pour aujourd'hui - au présent - cependant on sait qu'elle hait dieu et que si elle le croisait, elle lui cracherait au visage... un drame, une tragédie, un beau film (à l'image, Gunnar Fischer, celui qui éclairera la plupart des films de Bergman (c'est de lui qu'il s'agit) jusqu'aux années 60) (noir et blanc splendide et chatoyant) (musique Erik Nordgren, même chose que pour l'image : une collaboration étroite et fidèle avec le réalisateur) Jeux d'été (Ingmar Bergman, 1951) (splendide)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
4 Comments:
illui ellelui
ille ellele
audiaudi
genre poésie sonore
(ça se passe en deux temps - le P/E* est du premier - Marie est danseuse, elle s'échappe pour un jour de cette discipline d'acier, se retrouve sur une île où elle repense à son premier amour, Henrik - formidable amour (c'est le poème) soleil joies rires - après ça tourne mal - vous verrez peut-être (mais c'est un incunable) - puis elle revient à sa profession, (en quelques secondes, on voit vingt ans passer sur son visage) (c'est le deuxième temps) (tout le cinéma se trouve dans cette ellipse) (c'est aussi pour ça qu'on l'aime) et se laisse convaincre que décidément il faut vivre pour aujourd'hui - au présent - cependant on sait qu'elle hait dieu et que si elle le croisait, elle lui cracherait au visage... un drame, une tragédie, un beau film (à l'image, Gunnar Fischer, celui qui éclairera la plupart des films de Bergman (c'est de lui qu'il s'agit) jusqu'aux années 60) (noir et blanc splendide et chatoyant) (musique Erik Nordgren, même chose que pour l'image : une collaboration étroite et fidèle avec le réalisateur) Jeux d'été (Ingmar Bergman, 1951) (splendide)
Merci pour la découverte.
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