lundi 11 janvier 2021

Poème express n° 818

posted by Lucien Suel at 08:28

3 Comments:

Anonymous ste said...

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12:54  
Anonymous Anonyme said...

(ce qui se passe, c'est que je me sens obligé de regarder si les films ont déjà été cités dans un P/E*) (un film en cinq mots a intérêt à avoir de l'ampleur) (il y avait dans le commentaire du 753* une allusion à Minority Report - mais je ne goûte pas S.Spielberg, c'est mon droit) (2002) (non plus que Tom Cruise le fucking scientologue) donc c'est non (mais cité quand même - c'est de la science fiction, tu sais) et puis ensuite, en y regardant de plus près il y a dans ces mots quelque chose qui indique nettement un film qui n'est pas de ce genre - un film où la substitution joue un rôle éminent (de même pour la disparition) (mais il y manque la fuite) - l'angle de vision (et la réalisation, de ce fait) est une affaire parfaitement entendue chez le metteur en scène : une des scènes du film (c'est l'une des dernières) la caméra sort par la fenêtre à très petite vitesse de la chambre où dort le héros (je n'en dis pas plus) (David Locke, comme le philosophe John - interprété par Jack Nicholson) (la fenêtre qui se trouve au rez-de-chaussée, est fermée d'une grille), se retrouve sur une place fort empoussièrée (on a vu des autos passer, des enfants jouer un chien divaguer, une Maria Schneider errer (on ne la nomme pas, il s'agit de la fille) des gens assis un taxi la police d'autres personnages (des tueurs probablement) (on entend un bruit suspect, comme un coup de revolver à travers un silencieux) puis revient vers l'hôtel (il s'agit d'un hôtel - ça se passe quelque part au sud de l'Espagne) (on veut s'enfuir à Tanger) les gens re-rentrent (la fille aussi) et cetera - un plan diabolique, mais Michelangelo aime assez ce genre de prouesses (moins que Kalatazov (Mikhaïl) ou Ophüls (Max) mais quand même) et il a fait appel à Luciano Tovoli pour l'image (un des plus grands chefs opérateurs - il est né en 1936, le film est de 1975) - un peu plus de deux heures de suspens et de lenteur de voyages d'incompréhensions de déductions fictives et de suites interrompues, d'absences, enfin tout ce qu'on aime au cinéma - s'il passe quelque part, et que cette saloperie de truc pourri est levée, j'irai le revoir - ou alors à la télé mais non - merveille : Profession : reporter (Michelangelo Antonioni, 1975)

15:08  
Blogger Lucien Suel said...

@ste J'aime beaucoup ce raccourci électrique et surtout le lire de la façon suivante :"Ion-ion ! Ion-ion !... " ad libitum
@PCH en vrac, je ne goûte pas trop non plus le Spielberg, mais le roman est de Philip K Dick dont je suis un fan absolu. Pour la suite (très bien écrite Monsieur) moi aussi, j'aimerais bien le revoir cet Antonioni avec Nicholson

19:00  

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