jeudi 29 octobre 2020

Poème express n° 798

posted by Lucien Suel at 07:22

3 Comments:

Anonymous ste said...

poème exprès

12:49  
Anonymous Anonyme said...

(ah Maria...) l'histoire se passe du côté de la mer Noire, en Colchide l'extrême est - l'Anatolie - à ce moment-là, au moment du poème, évidemment tout se terminera bien (c'est ce qu'on croit - c'est ce qu'on aimerait croire) - elle aime ce Jason et pour lui, elle sera prête à tout : elle, la fille du roi, lui procurera ce trésor, la toison d'or (qu'il recherche justement) - les voilà partis vers Corinthe où règne le roi Créon - le parfait amour de Jason pour elle - deux enfants - "que les dieux les entendent "- seulement Jason, malheureux, s'amourache de la fille de Créon... Grosse cata... Maria Callas joue une Médée magnifique, presque sans parole (l'idée magique pour cette voix sublime), sous une emprise tellement amicale de Pier Paolo Pasolini, lui donnant l'entière et la presque-totalité de son être - le poème le tait, mais non, ça ne finira pas bien - pas bien du tout... Médée (Pier Paolo Pasolini, 1969)

21:52  
Blogger Lucien Suel said...

Médée ! Exactement, très beau. On voyage beaucoup

07:38  

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