(ah Maria...) l'histoire se passe du côté de la mer Noire, en Colchide l'extrême est - l'Anatolie - à ce moment-là, au moment du poème, évidemment tout se terminera bien (c'est ce qu'on croit - c'est ce qu'on aimerait croire) - elle aime ce Jason et pour lui, elle sera prête à tout : elle, la fille du roi, lui procurera ce trésor, la toison d'or (qu'il recherche justement) - les voilà partis vers Corinthe où règne le roi Créon - le parfait amour de Jason pour elle - deux enfants - "que les dieux les entendent "- seulement Jason, malheureux, s'amourache de la fille de Créon... Grosse cata... Maria Callas joue une Médée magnifique, presque sans parole (l'idée magique pour cette voix sublime), sous une emprise tellement amicale de Pier Paolo Pasolini, lui donnant l'entière et la presque-totalité de son être - le poème le tait, mais non, ça ne finira pas bien - pas bien du tout... Médée (Pier Paolo Pasolini, 1969)
VILLENEUVE D'ASCQ, le samedi 15 février, à 16h, lecture publique en solo, dans le cadre de l'exposition "éd. etc." organisée par l'association "La belle époque" à L'Isolée, Galerie de La Belle Epoque, 17 chemin des Vieux Arbres, Villeneuve d’Ascq (Métro Hôtel de ville). Je lirai en priorité "Chapelet des Plages", un portefolio de poèmes sérigraphiés consacrés aux plages belges, de La Panne à Knokke-Le-Zoute. Entrée libre.
METZ, dans le cadre de Poema, à la librairie "Autour du monde" le 25 avril à 18h30, soirée Dernier Télégramme avec L. Suel et J. Boutonnier
3 Comments:
poème exprès
(ah Maria...) l'histoire se passe du côté de la mer Noire, en Colchide l'extrême est - l'Anatolie - à ce moment-là, au moment du poème, évidemment tout se terminera bien (c'est ce qu'on croit - c'est ce qu'on aimerait croire) - elle aime ce Jason et pour lui, elle sera prête à tout : elle, la fille du roi, lui procurera ce trésor, la toison d'or (qu'il recherche justement) - les voilà partis vers Corinthe où règne le roi Créon - le parfait amour de Jason pour elle - deux enfants - "que les dieux les entendent "- seulement Jason, malheureux, s'amourache de la fille de Créon... Grosse cata... Maria Callas joue une Médée magnifique, presque sans parole (l'idée magique pour cette voix sublime), sous une emprise tellement amicale de Pier Paolo Pasolini, lui donnant l'entière et la presque-totalité de son être - le poème le tait, mais non, ça ne finira pas bien - pas bien du tout... Médée (Pier Paolo Pasolini, 1969)
Médée ! Exactement, très beau. On voyage beaucoup
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